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Soutenue par la communauté internationale et sous programme FMIBanque Mondiale, le Tchad, un PMA parmi les plus pauvres, fait appel à l'investissement étranger dans le cadre de la libéralisation et du renforcement de son économie : privatisations, développement de ses infrastructures. Les investissements chinois ont des répercussions controversées selon les autres investisseurs : Certains investisseurs trouvent que les chinois sont pragmatiques et veulent les imiter et acquérir leur savoir faire et par contre d'autres les trouvent très concurrents pour ne pas dire rivaux donc on conclue que les avis sont divergents au Tchad. Pour encourager à la Chine d'y investir d'avantage et attirer d'autres investisseurs le Tchad doit accepter les critiques, les observations et les reproches des institutions internationales et les prendre en compte pour mieux améliorer son environnement des affaires et non s'enfermer dans l'optimisme banal. Le Tchad a besoin d'une stratégie de développement du secteur privée établie en concertation avec les milieux représentatifs de l'entreprenariat local : Chambre de commerce (CCIAMA), Patronat (CNPT) et des expertises étrangères.
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Ali Djibrine Souleymane est de nationalité Tchadienne, diplômé d'un doctorat en Affaires Internationales Spécialisation Afrique.
