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Excerpt from Observations Sommaires sur les Biens Ecclésiastiques, du 10 Août 1789
Tels font les principes en cette matiere. Tant que le Corps du Clergé ne fera point fupprimé il e_pr feul propriétaire de fes biens or, vous ne pouvez ravir ia propriéténi des Corps, ni des individus. Vous avez beau faire déclarer à l'afl'emblée Nationale que les biens dits eccléfià&iquea appartiennent à la Nation. Je ne fais ce que c'epr que de déclarer un fait qui n'e t 'pas vrai. C'àe¿c faire des Loix que le Corps légi¿ati': ell appelé non à décider des faits. C'ept pour ré former pour modifier les Pouvoirs publics, que la Nation delegue l'exercice de fon pouvoir confiitt'1ant, non pour déplacer les prop1iérés. Lors même que, faififi'anr un moment favorable vous feriez de'clarêr que les biens du Languedoc appartiennent à la Guienne, je ne conçois pas comment une fin1ple Dé.
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