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Les écrits sur l'Algérie d'avant ne manquent pas, chacun y apportant sa part de mémoire et de nostalgie. En ce qui concerne notre auteur, ce qu'il a ressenti en arrivant sur place est cette impression d"avoir quitté sa ville la veille au soir. Alger, au premier abord, n'a pas changé depuis le départ des Français, et elle se présente en toute innocence et dans toute sa splendeur. L'accueil des habitants est toujours très chaleureux mais les visages familiers d'autrefois sont absents. Par contre, les murs anciens vous parlent et ils ont parlé car ils sont les meilleurs témoins de l'Histoire, et la pierre est la mémoire de l'Homme, bien avant celle des écrits. Alger la Blanche a exceptionnellement échappé aux dégâts des guerres successives. Elle est et restera le témoin précieux et ineffaçable de la France de nombreuses enfances.
About the author
Docteur en Médecine de la Faculté d-Alger puis de celle de Marseille.
Médecin à Cannes-Le Cannet jusqu-en 2014.
Mésothérapeute, Président de la Société Française de Mésothérapie pour la Région Corse-PACA.
Auteur de plusieurs ouvrages en la matière qui lui ont valu de nombreux déplacements en Pays Étrangers et par la même plusieurs retours au Pays Natal, l-Algérie.
Summary
"A magic curtain, woven of legends, hung before the world," writes Milan Kundera in The Curtain, his fascinating new book on the art of the novel. "Cervantes sent Don Quixote journeying and tore through the curtain. The world opened before the knight-errant in all the comical nakedness of its prose." For Kundera, that curtain represents a ready-made perception of the world that each of us has—a pre-interpreted world. The job of the novelist, he argues, is to rip through the curtain and reveal what it hides.
In this entertaining and always stimulating essay, Kundera cleverly sketches out his personal view of the history and value of the novel in Western civilization. Too often, he suggests, a novel is thought about only within the confines of the language and nation of its origin, when in fact the novel's development has always occurred across borders: Laurence Sterne learned from Rabelais, Henry Fielding from Cervantes, Joyce from Flaubert, García Márquez from Kafka. The real work of a novel is not bound up in the specifics of any one language: what makes a novel matter is its ability to reveal some previously unknown aspect of our existence. In The Curtain, Kundera skillfully describes how the best novels do just that.
Additional text
"Evocative...Kundera marvelously conducts us on a journey through the history of the novel."