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Informationen zum Autor Hervé NDILIMABAKA est Docteur en Physique du solide (Spintronique, Université de Versailles), Ingénieur Physicien (Télécom Physique Strasbourg) et titulaire d¿un Master (Physique, Strasbourg 1).Depuis 2009 au Laboratoire National de Métrologie et d¿Essais, ses travaux portent sur: - Smart grids;- Mesure de puissance;- Qualité de l¿énergie. Klappentext En couche mince ¿Fe¿_(2-x) ¿Ti¿_x O_(3- ¿) (x=0.5, 0.7 et 1) présente, selon la st¿chiométrie et la croissance (sur ¿-¿Al¿_2 O_3 (0001) suivant l¿axe c de la structure hexagonale), un potentiel intéressant pour la spintronique. Dans la symétrie R3 ¿c les cations occupent indifféremment 2/3 des sites octaédriques disponibles. Le volume de la maille cristalline augmente avec ¿ et x. À température ambiante le matériau est ferrimagnétique (x=0.5 et 0.7), une transition de phase isolant ¿ semi-conducteur dopé apparaît avec une bande d¿absorption lorsque ¿ augmente et x diminue. Son origine serait une bande d¿impuretés BI (lacunes d¿oxygène) dans le gap direct. Mais sa position (~0.6 eV sous la bande de conduction BC) est trop profonde pour expliquer une conduction par activation thermique (¿_A ¿ 105 meV) des porteurs (loi Arrhenius). Des niveaux discrets dont l¿absorption est masquée par BI existeraient donc au-dessous de BC. À basse température (T ¿ 110 K), la conduction par sauts domine l¿activation thermique. D¿autres niveaux d¿énergie sont sollicités (¿_A ¿ 52 meV) et une transition magnétique super-échange ¿ double-échange (axe facile hors du plan) engendre une magnétorésistance.