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La situation politique en Égypte n'est plus aussi stagnante et face aux mutations politiques diverses que connaît le pays et la région du Moyen-Orient et de l'Afrique du Nord. Cette étude suggère la mise en oeuvre du modèle transitologique de la politique pour repenser l'implantation de la démocratie en Égypte. Par conséquent, cette démocratie s'instaurerait dans un État civil moderne dans le cadre d'un contrat sociopolitique garantissant la protection des libertés et des droits politiques, civils et socio-économiques des citoyens et la révision de l'équilibre des pouvoirs, de la performance du comité responsable des affaires partisans et de la jurisprudence. Cette transition démocratique, en Égypte,doit donner plus de liberté à la fondation des partis pour remédier au vide politique, à l'établissement d'une démocratie participative caractérisé d'un système électoral qui serait capable de garantir la transparence du processus électoral et enfin être en mesure de garantir aux citoyens une liberté d'expression et une presse libre et indépendante
About the author
Riham Sayed Omar est politologue et interprète. Elle travaille à l'Agence canadienne de développement international. Récipiendaire de bourse d'excellence de la Francophonie de l'ACDI. Titulaire d'une maîtrise en science politique de l'Université du Québec, études des relations internationales et des transitions démocratiques.Elle achève le doctorat
