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Nombre d'auteurs ont raconté la ville de New York, espace emblématique, à la fois écrasant et oppressant, mouvant et vibrant. Loin de s'attacher simplement à un portrait de la ville, ce mémoire de recherche prendra pour point d'ancrage une période charnière de l'histoire de la ville de New York et de l'histoire américaine et finalement de l'histoire mondiale : les attentats du 11 septembre. Nous parlons ici d'un traumatisme omniprésent. Les avions percutant successivement les deux tours, les gens courant et tentant d'échapper à l' « inéchappable » et ceux qui, mains jointes, sautaient dans le vide dans un dernier élan de désespoir, et finalement, les deux tours s'effondrant dans un nuage de fumée ces images ont été diffusées dans le monde entier et hantent la mémoire collective, après avoir d'abord recouvert la ville d'un linceul. Cette recherche a pour but d'explorer les contours dudit espace urbain et de l'individu avant et après les événements du 11 septembre afin d'illustrer une période transitoire.
About the author
Jennifer Boum Make a entamé son parcours universitaire à l'Université Paris Ouest Nanterre, où elle a obtenu sa licence et son Master en Études Anglophones. Cet ouvrage s'inscrit dans le cadre de ses recherches sur la représentation de l'espace urbain américain et l'inscription de l'individu dans la littérature américaine contemporaine.
