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Mouais !
Okay…
Ça reste un bon livre !
Mais «bon» = trois étoiles !!!
Il n’est ni très bon et vraiment pas excellent !
Au final, si je fais vraiment un résumé ou critique simple, je pourrais simplement me dire que Bernard Weber a soit voulu libérer ses frustration sexuelles, soit il devait absolument pondre un livre rapidement pour son éditeur.
Il y a pas mal de choses peu décrite ou pas décrite de façon incroyable. On ne peut pas dire que c’est du Stephen King, quoi ! Car Stephen est peut-être le maître de l’horreur et un des auteurs les plus lu, mais il est également un pro de la description.
J’ai commencé le livre. J’ai été tout de suite pris. On entre directement dedans.
Mais il ne prend pas beaucoup de temps avant de se rendre compte que les personnages principaux sont relativement insupportables. Et c’est pas évident de suivre une histoire avec des personnages qu’on a tout le temps envie de baffer.
Alors… j’avoue : je pense que je l’ai lu pile au bon moment, même s’il date de 18 ans.
Il est probablement plus d’actualité maintenant qu’à l’époque vu les guerre qui éclatent encore en ce moment et le coronavirus qui vient de passer. Ça, c’est le côté Bon Livre. Le genre un peu avant-gardiste qui ne perd pas a fraîcheur.
Une chose qui est vraiment merveilleux ce livre, c’est qu’il prend en compte tout ce qu’il y a de bien et de mal sur Terre et chez les Humains. Et il oppose tout ça. Un face à face frontal, très direct et plutôt intelligent.
On survole la notion de «Faites l’amour, pas la guerre», mais là par contre, c’est de façon banal, idiot, enfantin, d’où tout ce que j’ai dit au début.
Bernard reste un excellent auteur. Mais vu qu’il a aussi fait du nettement moins bon, il pourrait perdre sa place de «mon auteur préféré français» !
Il reste une de personnes importantes qui arrive à allier et relier Spiritualité et Sciences.
Ce livre est très vite lu, tout comme son «Le Livre du Voyage». Sa description que je critique ici n’a rien à voir avec les excellentes descriptions qu’il fait dans les Fourmis.
Une dernière chose, qui me fait rire d’ailleurs, est le fait que ce livre n’est surtout qu’une suite de dialogues, d’où le fait qu’il est vite terminé. Quand je pense que les profs nous disaient lors de rédactions de textes en tous genres qu’il fallait éviter les dialogues… alors que des écrivains sont devenus connus et ont réussi à vendre des livres qu’avec du dialogue.
Je repense à extraordinaire «Cosmétiques de l’Ennemi» de la merveilleuse Amélie Nothomb.
Bref…
Je pense que j’en ai assez dit pour cette fois.
PS : À noter que je viens de lire le résumé du livre qu’il y a au dos.
En effet, j’ai lu l’histoire en essayant d’avoir le plus de surprises possibles, tout en en sachant le moins possible.
J’aurais vu différemment les choses, événements si j’avais su.
Du coup, je constate que dans les livres de Weber, l’auteur considère qu’on lit tous le dos de la couverture avant de se lancer. Je ne sais pas si je trouve ça bien… ou si je trouve dommage.
Perso, j’adore aussi parfois voir le résumé qu’une fois que j’ai lu un livre ou vu un film.
A chacun sa méthode.
A bientôt !!!
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