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Décrite en 1868 par le neurologue français Jean-Martin Charcot, la sclérose
en plaques est une affection neurologique qui se rencontre essentiellement
dans l'hémisphère Nord et les pays industrialisés où elle ne cesse de progresser
depuis des décennies. Elle est, par contre, très rare dans l'hémisphère Sud et
les pays en voie de développement.
Classiquement, elle est considérée comme une maladie virale alors qu'il n'a
jamais été possible de mettre en évidence un virus sur le sujet vivant, sur le
cadavre, sur l'animal et même dans la nature. Le propre des virus est d'être
facilement transmissibles or, la sclérose en plaques n'est pas contagieuse.
En 1965, l'auteur de ce livre a été le premier scientifique à avoir pris conscience
de l'existence d'une nouvelle forme de pollution qu'il a dénommée pollution
électromagnétique. Pour ce médecin, cette pollution, qui a considérablement
augmenté dans les pays industrialisés au cours des dernières décennies,
provoque une lente et progressive électrocution des organismes humains
et joue un rôle important dans les maladies dites de civilisation : affection
rhumatismales, cardiaques et neurologiques.
Dès 1967, il émet l'hypothèse d'une cause multifactorielle de la sclérose en
plaques, mettant en jeu un facteur génétique, de prédisposition et un facteur
d'environnement, en l'occurrence la pollution électromagnétique.
Si vous croyez vraiment, entre autres, que :
la sclérose en plaques est une maladie virale ;
les traitements «classiques» agissent sur le virus ;
les professeurs, spécialistes de la maladie, disent toujours la
vérité ;
les recherches de mise en évidence d'un virus progressent ;
alors ce livre est fait pour vous : ne vous laissez pas désinformer
plus longtemps !