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Angers d'Antan
Plus de 400 cartes postales anciennes témoignent de la vie à Angers au début du XXe siècle.
Découvrez, à travers Angers d'Antan, des cartes uniques qui, pour certaines, n'ont encore jamais été publiées.
Un voyage inoubliable dans la ville d'Angers et ses communes alentours ; une aventure au coeur de la vie des Angevins à la Belle Époque.
La cité du roi René
Elle est la Ténébreuse, avec les tours sans couronne de son château de schiste noir ; la Sainte ou la Guerrière, avec la cathédrale et ses statues de chevaliers armés ; l'Inconsolée de la splendeur passée de ses marchands, avec sa légendaire Maison d'Adam.
Le centre historique
Sa place du Ralliement avec son Grand Théâtre et son Grand Hôtel, ses rues où le commerce est déjà roi. Et là-bas, sur l'autre rive, la Doutre qui s'étiole, pauvre et oubliée, avec la place de la Laiterie et ses Pénitentes cloîtrées.
Les boulevards et les ponts
Sont-ils frontières ou liens, ces boulevards du XIXe siècle aux noms changeants ? Avec leurs marchés aux fleurs et la perspective des grands Jardins du mail et des plantes. Et ces ponts sur la Maine, actifs et populaires, de Haute et Basse-Chaîne sont-ils séparation ou trait d'union ?
Les quartiers périphériques
Jadis n'étaient-ils pas « fauxbourgs » tous ces quartiers d'hier, de l'Esvière tout en prière à Bressigny le bien fleuri, en passant par Saint-Michel l'industriel ou Saint-Laud le cheminot ?
Les communes alentours
Que serait Angers sans l'ardoise de Trélazé, sans les Ponts-de-Cé et la Loire à traverser, Mûrs-Érigné et son rocher, Saint-Clément-sur-Place et son Patron d'industrie, Béhuard et sa Vierge noire ? Mais aussi, La Daguenière, Saint-Barthélémy, Le Plessis-Grammoire, Saint-Sylvain, Pellouailles, Villevêque, Briollay, Écouflant, Épinard, Avrillé, Montrueil-Juigné, Feneu, La Membrolle, Pruniers et Bouchemaine.
Quotidien et art de vivre
Au travail, dans les ardoisières, mine bleue ou gouffre noir ; sur les bateaux-lavoirs de la Maine, misère cachée sous le pittoresque ; chez Bessonneau dont les journées rythmaient la vie angevine. Ou le dimanche, pour une partie de boule de fort ou une excursion en bord de Loire. La vie des Angevins au début du XXe siècle.
