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Informationen zum Autor Née à Québec en 1975,Valérie a obtenu son diplôme M.Sc. en Microbiologie et Immunologie de la Faculté de Médecine de l¿Université de Sherbrooke, Qc, en 2000. Elle est actuellement étudiante au Ph.D, Faculté de médecine de l¿Université de Montréal, Qc, et étudie l'immunité mucosale génitale chez des femmes résistantes à l'infection par le VIH-1. Klappentext Dans le but d'étudier les étapes précoces de l'infection chez les porcs par Yersinia enterocolitica, quarante deux porcelets de cinq semaines ont été inoculés avec Y. enterocolitica 0 :3.Des groupes de cinq animaux (et un contrôle négatif) ont été euthanasiés 30 minutes, 3, 6, 12, 24, 48 et 72 heures suivant l'infection.Les amygdales, noeuds lymphatiques rétropharyngiaux et mésentériques, oesophage, duodénum, jéjunum, iléon (et plaques de Peyer), estomac, foie, rate et feces (provenant du colon) ont été prélevé et analysé pour la présence de Y.enterocolitica.L'infection naturelle a été examiné.Pour confirmer ces résultats,la prise d'un gramme d'échantillon de fèces et d'amygdales sur 291 carcasses de porcs, moins de trois heures après l'abattage, suivi de la culture de ceux-ci pour Y.enterocolitica.Les résultats nous indiquent que les amygdales sont les tissus les plus indicatifs d'une infection à Y: enterocoIitica 0 :3 chez les porcs et suggèrent que ce tissus doit être enlevé lors du processus d'abattage afin de minimser les risques de contamination du produit par ce microorganisme.
