Go with me (2015)

Recensioni dei clienti

• Bof...

  Scritta il 24. novembre 2016 da Bibo .
  Questa recensione si riferisce a una versione alternativa.

  Encore une fois, j’ai de la peine à me positionner !
  
  Bon… on ne peut pas dire que je ne me suis pas du tout ennuyé.
  Le film est court, mais il a l’air de durer le double de son temps.
  Si on s’attend à du suspense et à des rebondissements, faudra aller voir ailleurs, car il y a surtout du téléphoné ici. C’est vraiment sympa, mais sans plus.
  
  Que font ces acteurs ici ?
  Ils sont bons pourtant !
  
  Bon Julia Stiles a l’air de vouloir se faire une seconde vie au cinéma. Ce n’est pas partie gagné. Elle dégageait quelque chose de chouette qu’elle ne dégage plus. Et je ne pense pas que c’est parce qu’elle joue bien. Elle ne joue plus aussi bien je dirai. Pourtant, elle n’a pas de quoi se reposer sur ses lauriers.
  
  Anthony Hopkins, comme Sean Connery, Morgan Freeman, Robert de Niro ou encore Johnny Depp, a l’art de sauver un film en général ou d’au moins être le seul centre d’intérêt parfois.
  Ici, il n’arrive pas forcement à sauver le film. Mais il reste génial dans ces rôles de personnes plutôt calmes ayant plein d’expérience de la vie et n’ayant peur de rien et sachant comment réagir face aux menaces.
  Quant à Ray Liotta, il fait assez peur dans les premières scènes où on le voit. Mais plus le film avance, moins il est impressionnant.
  On dirait que ces deux acteurs se retrouvent pour un nouveau face à face. Comme si Ray en voulait à Hopkins de lui avoir bouffé le cerveau dans Hannibal et qu’il voulait un second round.
  Alexander Ludwig est plutôt sympathique en petite frappe bègue plutôt gentil. Assez discret, mais malheureusement maladroit. Lui représente le jeune flic sans expérience là où le sage flic va prendre sa retraite. Il faut toujours un contraste pour faire un équilibre. Deux justiciers ou policier ne sont jamais pareil. Ni Starsky & Hutch, ni dans l’Arme Fatale, ni nul part.
  
  Ça lui change, à Ludwig, de ses rôles dans la série Vikings ou dans son rôle odieux de Final Girl, qui est hélas un film catastrophique qui aurait eu du potentiel.
  Daniel Alfredson avait fait de la trilogie de Millenium un chef-d’œuvre.
  Il commence à se ramollir. C’est le fait de s’américaniser ?
  Noomi Rapace aussi a le même problème. Elle n’aurait pas dû quitter la Suède.
  Mais là, je touche à une autre histoire…