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Le parc national de Nairobi (Kenya) est actuellement clôturé, sauf du côté de Kitengela, de l'autre côté de la rivière Mbagathi. La subdivision des ranchs collectifs a entraîné une augmentation de l'habitat humain dans les plaines de Kitengela-Athi-Kaputiei, limitant ainsi les déplacements de la faune migratoire. L'augmentation de l'habitat humain a eu de multiples effets négatifs sur la faune migratoire, principalement en raison de la perte de zones de dispersion et du blocage des voies de migration, ce qui a entraîné le confinement de la faune, une diminution de la tolérance de la faune et une augmentation des incidences de conflits entre l'homme et la faune. Les impacts de la zone de conservation de Kitengela sur la faune migratoire du parc et les mesures d'atténuation appropriées sont discutés dans cet ouvrage. Ces mesures d'atténuation pour la durabilité à long terme du parc, de la zone de dispersion et du corridor migratoire, comprennent la mise en oeuvre holistique du plan de gestion de l'utilisation des terres, la cartographie et la protection des zones vitales pour la faune sauvage dans l'aire de migration, y compris les zones de mise bas de la faune sauvage. Ce modèle est d'une importance vitale, non seulement pour la gestion durable de la zone de conservation de Kitengela et des couloirs migratoires dans les terres arides et semi-arides, mais aussi pour d'autres terres de parcours en Afrique confrontées à des défis similaires.
A propos de l'auteur
John hat einen Bachelor in Naturwissenschaften (Universität Nairobi), einen Master in Umweltwissenschaften und einen Doktortitel in Umweltstudien (Kenyatta Universität, Kenia). Er ist Hauptdozent für Umwelt-/Wildtierstudien/nachhaltigen Tourismus und stellvertretender Studiendirektor am Kenya Utalii College. Er ist Autor des Buches Effective Community Participation in Ecotourism Management.
