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Alors que les patients atteints de la maladie d'Alzheimer ont un risque accru de développer des crises, l'activité épileptique déclenche une variété de réponses compensatoires inhibitrices dans les circuits hippocampiques pour contrer les déséquilibres dans l'activité du réseau, interférant avec les fonctions neuronales/synaptiques normales nécessaires à l'apprentissage et à la mémoire. Les médicaments antiépileptiques (AED) étant censés moduler la cognition de manière variable, il convient de s'interroger sur les AED les plus efficaces dans cette indication.La gabapentine et le levetiracetam ont amélioré de manière significative la déficience cognitive induite par la colchicine, le stress oxydatif et la réduction du niveau de BDNF. La gabapentine a augmenté l'activité de l'AChE, tandis que le levetiracetam et le donepezil l'ont diminuée. Malgré l'augmentation du taux de BDNF. La carbamazépine n'a pas amélioré de manière significative les troubles cognitifs induits par la colchicine.Les nouveaux AED, en particulier le levetiracetam, ont amélioré la fonction cognitive et ont manifestement protégé l'hippocampe et le cortex préfrontal des effets délétères de la colchicine. Sur la base de sa neuroprotection significative, le levetiracetam pourrait être l'AED le plus favorable à utiliser dans la démence de type Alzheimer.
About the author
DR. Amany Ali Nawar MBBS, MD, PhD em farmacologia clínica, Mestre em medicina interna; Faculdade de Medicina de Alexandria.A sua área de interesse é o trabalho de investigação em neurociências, doenças cardiovasculares e novas modalidades de tratamento farmacológico.
