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Le droit d'être guidé est combiné avec la liberté de guider nouvellement envisagée (droit à l'information touristique). C'est pourquoi il y a eu un phénomène d'inversion du rôle du guide touristique officiel, par opposition au touriste, au guide informel (par exemple, dans les circuits gratuits) et aux guides (livres). Le nom du guide a également été inversé en grec, puisque dans cette langue, le touriste s'appelle pi Gamma (periigitís), un mot qui signifie une personne qui visite des destinations à des fins de loisirs et qui, en grec ancien, était utilisé pour désigner soit le guide, soit le " teorós " (touriste) ou, dans une moindre mesure, les auteurs des connaissances acquises au cours de leurs voyages. En outre, le tourisme est une activité endogène dans la nature et l'endogénéité de l'utilisation non productive des biens environnementaux devrait être consacrée comme un principe général du droit de l'environnement, ce qui impliquerait que cette utilisation soit prioritaire par rapport à la production.
About the author
Antonio Maniatis es doctor de Derecho Público de la Universidad Paris Nanterre y abogado. Ha sido docente del Derecho de Contratación Pública en la Facultad de Ciencias Sociales de la Universidad de Castilla-La Mancha. Es miembro del Observatorio de Contratación Pública y autor de muchas publicaciones.
