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La gestation d'une vie par une autre personne a toujours été une question controversée. Le fait qu'il s'agisse d'un sujet qui suscite de nombreuses controverses parce qu'il implique la production d'une vie au moyen de techniques de procréation assistée exige des professionnels du droit qu'ils fassent preuve d'acuité, car il s'agit d'un domaine riche en interprétations sous l'égide d'idéologies différentes. Au coeur de la controverse se trouvent des questions éthiques et scientifiques ; on assiste à des redéfinitions de la filiation d'un enfant fécondé dans un utérus délocalisé. Le contrat de transfert temporaire d'utérus doit faire l'objet d'études plus approfondies, car il n'existe pas de législation spécifique à cet effet. À cette fin, un problème de recherche a été formulé pour guider l'étude, sous la forme d'une question : existe-t-il une protection juridique pour que le recours à cette technique ne devienne pas indiscriminé ? À la suite de l'étude, outre la nécessité d'une plus grande protection juridique, il existe diverses implications sur le sujet, qui seront analysées tout au long du travail. L'objectif général est de rechercher l'importance du contrat et la création de lois pour l'utilisation temporaire de l'utérus afin de minimiser les conflits sur la filiation de l'enfant.
Über den Autor / die Autorin
Brasiliana, laureata in Giurisprudenza presso l'URI Santo Ângelo Campus, avvocato, insegnante di inglese (livello avanzato), eterna studentessa. Nata nell'interno dello Stato di Rio Grande do Sul, il suo sogno è lavorare nel settore legale.
