Beschreibung
Produktdetails
Regisseur | George Hickenlooper |
Schauspieler | Jimmy Fallon, Guy Pearce, Hayden Christensen, Sienna Miller, Jack Huston |
Genre |
Drama
|
Inhalt | DVD |
FSK / Altersfreigabe | ab 16 Jahren |
Erscheinungsdatum | 03.02.2009 |
Ländercode | 2 |
Laufzeit | 87 Minuten |
Ton | Englisch (Dolby Digital 5.1), Französisch (Dolby Digital 5.1) |
Untertitel | Französisch |
Extras | Entfallene Szenen, Behind the scenes, Dokumentationen, Trailer, Zusatzinformationen |
Bildformat | 16/9, 1.85:1 |
Cast & Crew
Schauspieler
Kundenrezensionen
-
Bof...
Un film un peu superficiel sur Edie Sedgwick, l'ancienne égérie d'Andy Warhol.
Destin et portrait tragique d’une muse qui avait tout pour elle.
Ce film, totalement méconnu en France, se veut un biopic de Edie Sedgwick, l'icône des 60's, qui fut proche d’Andrew Warhola (connu sous le nom d'Andy Warhol), et qui fut la maîtresse de Bob Dylan. Malgré l'extraordinaire talent et la beauté de l'actrice principale, Sienna Miller, un doigt d'érotisme et ce qu'on suppose une critique d'Andy Warhol (une critique en partie ad hominem), le film ne décolle jamais et finit par nous ennuyer.
Non, je ne peux pas dire que j’ai aimé ce film. Mais je suis content de l’avoir vu une fois.
Cependant, il y a pas mal de choses à dire dessus.
Edie Sedgwick aurait-elle eu un vie très semblable à celle de Frances Farmer ? Délaissée après son succès et sombrant, hélas, dans la drogue, celle-ci rend pourtant bien compte, au début, du plus de liberté, notamment artistique de cette époque, ainsi que de l'ouverture intellectuelle. Elle n'évite pas la complaisance et les leçons de morales douteuses. D'autant plus risibles que Wahrol lui-même ne crachait pas sur l'argent facile et n'évitait pas toujours ce genre de clichés malsains relatifs à une jeunesse "pure"...
Sienna Miller est, certes, éblouissante en muse du célèbre artiste pop'art.
Magnétique et envoûtante, elle envahit l'esprit du spectateur qui ressort ébahi, troublé, par cette actrice… bien que je ne sois pas un de ses fans, à la base.
Quant à Guy Pierce, il incarne Andy Warhol avec une aisance impressionnante. Warhol admirablement bien campé par un Pearce exceptionnel. Son interprétation est excellente. L'acteur australien s’est totalement investi et nous a livré ici l'un de ses meilleurs rôles. Tout comme Gary Oldman en Sid Vicious dans Sid and Nancy (1986).
Les sixties sont bien retranscrites, Rock'n'Roll à foison sans jamais vraiment tomber dans la vulgarité. Bon, en même temps, cela ne reste qu’une question de point de vue et de sensibilité.
Le sujet du film était vraiment intéressant, car dans le fond, on se rend bien compte que la quête de ces personnages, qui cultivaient le non-conformisme, les a mené à rechercher des aspects bien conformistes (l'amour, la reconnaissance, la gloire, l'argent...), et cette quête a mené Edie Sedgwick au désespoir et à l'abandon. Ce film nous fait plonger dans l'univers de deux égos qui sont indissociablement liés (en tout cas de ce que j'ai découvert...) et qui plongent également dans le monde maudit de la drogue. Ce film a l'élégance de nous brosser une période propice à la création et également le destin tragique d'une "pauvre petite fille riche".
Certains ont trouvé que ce long-métrage est d'une rare beauté visuelle. Je n'ai pas forcément trouvé. Mais peut-être parce que je n'aurais pas forcément voulu vivre à cette époque, ni connaître la Factory. J’aurais probablement détesté cet endroit !
Ne connaissant pas la véritable histoire, je ne peux me prononcer en termes de crédibilité et de justesse du scénario. Cependant, je suis sûr que des documentaires seraient plus prenants pour moi. Le film, lui, met en évidence les aléas de la célébrité.
Ahhh ! Elle apparaissait et elle disparaissait, sous les feux des projecteurs, aussi vite qu'un claquement de doigt. Edie Sedgwick, sublime, puissante, mais aussi terriblement fragile. Bon, en même temps, si elle était surtout connue grâce aux films de Warhol, je ne pense pas que cela ait été la carrière la plus incroyable.
La plongée dans une vie d'ascensions et de chutes, de chaos continuel, c'est ce que représente ce Factory Girl de George Hickenlooper. Fidèle à l'ambiance des sixties, les images s'enchaînent de manière dynamique, en alternant les styles et en gardant toujours à l'esprit cette ambiance d'apogée prématurée et de descente vers les enfers constante, que ce soit dans les dialogues ou dans les effets visuels. -
Suite et fin de ma critique !!!
Unique, ce film l'est tout autant que la muse qu'il dévoile, justement incarnée par cette Sienna Miller, qui arrive à faire ressortir ces mêmes sourires et ces mêmes regards spécifiques à l'ange déchu de la Factory. Une jeune fille dans un corps d'adulte, aimante, douce, et naïve, telle est représentée l'une des figures les plus mystérieuses et les plus tragiques du XXème siècle.
Entouré par un excellentissime Guy Pearce, le duo ambigu entre la superstar et Andy Warhol, l'artiste au caractère incompréhensible, transcende l'écran. Deux êtres perdus au cœur de ce monde dans lequel ils ne semblent pas pouvoir trouver une place.
L'idée de mort se retrouve présente tout au long du film, il me semble. L'argent devient également source de mort, le succès aussi et, finalement, c'est Edie en elle-même qui semble respirer la mort, comme si elle était condamnée avant même d'avoir effectué ses premiers pas. On peut s'attacher de façon démesurée à cette femme que l'on veut protéger, que l'on comprend, que l'on adore, et qui nous évoque l'image de la tragédie dans son essence propre.
L'histoire est marquante, elle l'est d'autant plus lorsqu'on est déjà attaché à ce personnage pourtant si mystérieux et inconnu, mais qui semble faire partie de nous. Comme une sœur que l'on aurait jamais connu. Son évolution, sa relation avec Andy, Bob Dylan, ses parents, et autres, tout est bien dévoilé pour montrer que, malgré ses va-et-vient incessants, la femme n'a aucune épaule sur laquelle se reposer.
La chute arrive brutalement, ce qui concorde avec perfection à l'idée du film, et on ne peut que se retrouver bouleversé devant un événement connu, attendu, mais pourtant si marquant. Une œuvre d'art qui tient particulièrement grâce à la réussite à retranscrire toute la singularité d'Edie Sedgwick et de l'univers dans lequel elle a évolué. Une femme à découvrir, et un film à voir.
En 1965, Warhol avait annoncé officiellement qu'il abandonnait l'art pictural pour des œuvres cinématographiques, mais n'arrêtera jamais, en fait. Entre 1966 et 1968 son importante production cinématographique conjuguée au soutien pour le Velvet Underground (avec la mystérieuse Nico à leur côtés), ont fait de lui un artiste complet. Il découvrit le Velvet en décembre 1965 et en devint le producteur. Le groupe se produisit souvent à la Factory.
On ne va pas dire que Hayden Christensen est incroyable en Bob Dylan. Il est rarement convaincant.
Jimmy Fallon fait plaisir à voir. Je le connais surtout comme présentateur, du coup, je suis content de le voir en tant qu'acteur, comédien.
Mena Suvari a aussi un petit rôle. Dommage, car on aimerait la voir plus souvent.
Et le plus drôle et le plus tragique, en ce qui me concerne, c’est que j’ai regardé ce film pour Mary Elizabeth Winstead… alors qu’on ne la voit même pas une minute ! Elle m’a bien eu, encore une fois !!! -
gut
eine etwas oberflächliche verfilmung über edi sedgwick, die ehemals musse von Andy Warhol
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